Il faut croire que la pandémie de Covid-19 a tout de même des aspects positifs, notamment pour la planète ! En effet, le confinement des populations, pour lutter contre la crise sanitaire, a induit une diminution des activités humaines, ce qui a ainsi influencer le climat de toute la planète.

Une diminution drastique de la pollution

Pour faire à la pandémie mondiale de Covid-19, un confinement de la population a été instauré dans plusieurs pays, des industries ont fermé, l’activité économique a été restreinte, ainsi que le trafic aérien, terrestre et maritime. Ce ralentissement de l’économie mondiale et des activités humaines a entrainé une diminution drastique de la pollution de l’environnement des émissions de gaz à effets de serre.

Selon une recherche menée par des scientifiques de l’Institut de recherche sur l’impact du changement climatique à Potsdam (Allemagne), les émissions de dioxyde de carbone ont diminué de 8,8% en 2020, par rapport à la même période en 2019, soit une baisse totale de 1551 millions de tonnes. L’impact de la pandémie pourrait même être équivalent voire supérieur à celui de la récession mondiale des émissions de 2008.

Une baisse des émissions globales de carbone devrait avoir lieu fin 2020 et peut-être même jusqu’en 2022. Autre conséquence de la pandémie, des animaux sauvages ont été observés dans certaines villes, comme ce puma à Santiago au Chili, un sanglier dans les rues de Barcelone ou encore une civette en Inde.

 

Ce ralentissement de l’économie mondiale et des activités humaines a entrainé une diminution drastique de la pollution de l’environnement des émissions de gaz à effets de serre.

 

Le cas chinois

Le pays ayant le plus réduit son taux de pollution environnementale est la Chine, alors qu’il s’agissait du plus grand pollueur du monde. La concentration en dioxyde d’azote a diminué de 30 à 50% dans plusieurs grandes villes chinoises, par rapport à la même période en 2019.

Paradoxalement, selon plusieurs experts, l’épidémie a épargné plus de vies qu’elle n’a provoqué de décès. En Chine, on estime qu’environ 1,1 million de personnes meurent à cause de la pollution.

Toutefois, malgré ces signes rassurants du rétablissement de l’environnement, les chercheurs craignent que cette « pause » qu’a connu la planète ne soit que de courte durée et que la pollution ne reprenne de plus belle après la crise, surtout si aucune initiative importante n’est prise à l’échelle planétaire.

 

Paradoxalement, selon plusieurs experts, l’épidémie a épargné plus de vies qu’elle n’a provoqué de décès. En Chine, on estime qu’environ 1,1 million de personnes meurent à cause de la pollution.

 

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, les émissions de dioxyde de carbone ont diminué de 8,8% par rapport à la même période en 2020. Toutefois les experts craignent que ces émissions ne reprennent de plus belle après la fin de la crise sanitaire, si aucune initiative importante n’est prise à l’échelle planétaire.

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