Depuis 2007, le 26 septembre a lieu la journée mondiale de la contraception (JMC). Soutenu par de nombreuses ONG, cet évènement a pour objectif de limiter les grossesses non-désirées à travers le monde et d’informer le grand public sur les méthodes de contraception existantes.

Le fléau des grossesses non désirées

On estime que chaque année à travers le monde, il y aurait plus de 80 millions de grossesses non désirées, dont un quart aboutiraient à des avortements de fortune, dans une précarité hygiénique et sécuritaire, menant à la mort de 70.000 femmes… Ce fléau concerne tout autant les pays en voie de développement que les pays développés, où la moitié des grossesses seraient non désirées et dont un tiers déboucheraient sur un avortement.

 

contraception
On estime que chaque année à travers le monde, il y aurait plus de 80 millions de grossesses non désirées, dont un quart aboutiraient à des avortements de fortune, dans une précarité hygiénique et sécuritaire, menant à la mort de 70.000 femmes.

 

Une journée de sensibilisation et d’information

C’est pour lutter contre ce fléau qu’en 2007 est lancée la Journée Mondiale de la Contraception (JMC) qui a désormais lieu tous les 26 septembre. Cette campagne mondiale annuelle vise à sensibiliser le grand public (aussi bien les femmes que les hommes) aux grossesses non désirées, et à informer, surtout les plus jeunes, sur les méthodes de contraception existantes.

Bien s’informer

On estime qu’un quart des jeunes de 15 à 24 ans ont leur première relation sexuelle sans contraception. En France plus de 7000 avortements ont eu lieu en 2019 chez les filles de moins de 18 ans. Informer les jeunes est donc capital pour éviter les grossesses non désirées.

Santé Publique France a ainsi mis à disposition des sites internet afin d’aider les jeunes à mieux s’informer :

 

« Une contraception hormonale masculine sûre et réversible devrait être disponible dans dix ans. ».

 

Depuis 2007, le 26 septembre a lieu la journée mondiale de la contraception (JMC). L’objectif est de sensibiliser le grand public aux grossesses non désirées et d’informer sur les méthodes de contraception existantes, notamment auprès des plus jeunes.

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