Le 28 septembre a lieu la journée mondiale du droit à l’avortement, en solidarité avec les femmes à travers le monde. L’objectif est de faciliter l’accès à l’IVG pour toutes, d’informer de manière fiable et de manière toujours plus anonyme.

Défendre l’accès à l’IVG

Le 28 septembre a lieu la journée mondiale du droit à l’avortement, qui est en réalité une journée nationale en France dont le but est de faciliter l’accès à l’interruption volontaire de grossesse ( IVG ) à toutes de manière toujours plus anonyme et de « réduire les inégalités et fournir des renseignements fiables ».
À cette occasion, un rassemblement a lieu à l’hôpital Tenon à Paris et le ministère de la Santé a mis en place un numéro vert national ( 0 800 08 11 11 ) afin d’informer de manière anonyme sur l’IVG, l’appel de ce numéro ne laissant pas de traces sur les factures téléphoniques.

 

Le 28 septembre a lieu la journée mondiale du droit à l’avortement, qui est en réalité une journée nationale en France dont le but est de faciliter l’accès à l’interruption volontaire de grossesse ( IVG ) à toutes

 

Une journée de solidarité envers toutes les femmes

Si l’IVG est un droit fondamental en France, ce n’est pas le cas dans tous les pays du monde. L’union syndicale Solidaires célèbre ainsi cette journée « En solidarité avec l’ensemble des femmes européennes, après la lutte exemplaire des espagnoles en 2015, des polonaises depuis 2016 et des irlandaises en 2018, en solidarité avec l’ensemble des femmes d’Amérique latine, dont les Argentines qui pour la 8ème fois se sont mobilisées pour obtenir une dépénalisation de l’avortement, en solidarité avec les femmes des Etats Unis d’Amérique qui ont vu en 2019 le droit à l’avortement disparaitre ou réduit dans de trop nombreux états, en solidarité avec les Françaises alors que la mouvance anti choix a obtenu en juin 2019 avec l’aide du gouvernement un vote au Sénat pour écarter le texte législatif qui aurait permis l’allongement du délai de recours à l’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse. En lutte pour déjouer la remise en cause de l’avortement par toutes les forces politiques ou religieuses réactionnaires, en France, en Europe et dans le monde : nous réaffirmons que les droits des femmes, la liberté à disposer de son corps, le droit à l’avortement et à la santé sont des droits fondamentaux pour construire des sociétés où l’égalité entre les femmes et les hommes, en Europe et dans le monde soit enfin reconnue ».

 

« Mon corps, mon choix »

 

Les revendications des associations

À l’occasion de cette journée mondiale, les associations telles que Avortement Europe rappellent que l’avortement est un choix personnel et un droit. Elles revendiquent la suppression de la double clause de conscience sur l’IVG, une harmonisation des délais légaux sur ceux des pays les plus progressistes en Europe, une dépénalisation totale de l’avortement par les Etats, des financements permettant à toutes les femmes d’avoir accès à l’IVG sur l’ensemble des territoires, des campagnes d’information sans tabou ni jugement et une formation aux techniques d’avortement pour tous les professionnels de santé.

 

À l’occasion de cette journée mondiale, les associations telles que Avortement Europe rappellent que l’avortement est un choix personnel et un droit.

 

Le 28 septembre a lieu la journée mondiale du droit à l’avortement, afin de permettre de faciliter l’accès à l’IVG à toutes les femmes à travers le monde.

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